Parmi les candidats les plus prometteurs, le choix final s’est porté sur DLK1 (delta-like canonical Notch ligand), en partie du fait de la disponibilité d’un conjugué anticorps-médicament (ADCT-701) pour cibler cet antigène. Un tel conjugué couple un anticorps spécifique d’une tumeur (ici dirigé contre DLK1) à une molécule cytotoxique (anticancéreuse ; ici des dimères de pyrrolobenzodiazépine, qui sont des inhibiteurs de la synthèse d’acides nucléiques). Le choix de cette cible était également conforté par l’association entre une forte expression de DLK1 dans des NB issus de patients et une survie globale plus courte.
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