À l’aide de données recueillies sur une période de 10 ans auprès de quatre services d’urgence, des chercheurs de l’Université de Toronto ont découvert qu’une exposition à court terme à la chaleur ambiante et aux niveaux de pollution atmosphérique était associée à une utilisation accrue des radiographies et de la tomodensitométrie (TDM). Les résultats de cette étude, qui ont été publiés dans la Revue Radiology, pourraient permettra aux centres de radiologie de mieux planifier leur activité.
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